Des mots pour la st Valentin

Quelques petites phrases

de

Édouard de Chamboisson pour

 la saint Valentin

Les grains de sable sont les mots murmurés par les amants du monde que caressent les vagues en les rendant heureux.

Je ne veux pas d’une autre vie, mais je veux bien partager la notre.

Donner un baiser, c’est s’offrir tout entier à celui ou à celle qui en savoure chaque endroit.

Donner un baiser, c’est partager toutes les émotions qui traversent notre cœur et notre corps.

Les nuages te dessinent, le ciel te désigne et le vent te pousse vers moi. Cesse de errer ainsi, arrête-toi dans mes bras écartés.

Aimer, c’est ne plus penser à soi pour ne plus penser qu’à l’autre.

Le réveil égraine les secondes comme mon cœur bat la chamade.

Comment te dire combien le temps est long entre deux battements de cœur qui te sont destinés.

Je ne veux pas reprendre ma vie à zéro, je veux la reprendre là où elle s’est arrêtée, mais avec toi.

Les croisés des chemins ne sont pas que crucifix, on y trouve parfois des anges.

Encore un matin sans saveur après une nuit sans étoile. Où sont les muses et les baguettes magiques pour refaire mon monde.

Comme les oiseaux, le vent me chante tes louanges. Je suis cet arbre sans racine qui te tend ses branches. Viens t’y poser, je t’attends.

Une feuille est tombée ce matin, elle plane dans l’espace que je n’occupe pas encore.

Je suis comme le ruisseau, je deviendrai fleuve, mon respect deviendra amour. Pour cela, je contournerai chaque obstacle. Sois ma source

A faire les cent pas devant la fenêtre Windows, j’ai oublié que le monde était empli de jolies futures épouses et j’y cours.

Tous les vents du monde me poussent vers toi sur qui la vie a déposé un voile pudique que je voudrais ôter.

Tous les vents me poussent vers toi, toutes les mers me retiennent en leurs vagues. Où es-tu que commence ma vie.

A l’aube de mes jours, tu m’étais destinée, où sont donc passés ces bras qui devaient m’enserrer

Comment savoir si tu es mon destin puisque je te vois de si loin. Approche que je saisisse enfin tes doigts dans mes deux mains.

Je veux bien tout perdre dans ma vie, hormis l’amour que tu ne m’as pas encore donné.

Écumeux sont mes tourments car comme les marées, ils sont sans cesse de retour. A quand le calme après la tempête.

Une nuit encore à traverser le ciel étoilé sans t’y rencontrer. Peut-être te verrais-je dans les rayons du soleil.

Être passionné, c’est aller à l’extase par le plus court chemin mais aussi le plus incertain.

Laissons derrière nous le passé et croquons la pomme à pleines dents et les baisers à pleines lèvres.

Chercher l’âme sœur, c’est confirmer sa solitude, chercher l’amour, c’est commencer à la vaincre.

Mieux vaut vivre avec ses illusions plutôt que d’être mal accompagné.

Une vie sans amour, c’est une prairie sans fleur, c’est une passion sans femme, c’est un désert sans eau.

Ouvrir son cœur, c’est aussi ouvrir ses bras.

Si le ciel se couvre, c’est que les baisers que je t’envoie se bousculent et s’empilent en formant les nuages.

Les roses tout comme mon cœur s’ouvrent dès les premières rosées du jour. Je voudrais t’offrir les deux.

Je regarde chaque jour le ciel pour y voir un signe de renouveau alors qu’il me suffit de te regarder pour oublier le reste.

Désespéré, je regarde le ciel alors qu’il me suffirait de prendre ta main pour inventer une autre vie.

J’aimerais me brûler à toi comme on se brûle au soleil juste en te regardant dans les yeux.

Une toile, quoi de plus beaux que tous ses fils qui me mènent à toi.

Brûler d’amour, c’est ne pas savoir éteindre l’incendie

L’amour, c’est comme une sirène de navire, ça s’entend de loin mais c’est au delà du brouillard qu’il se dessine vraiment.